Après avoir arpenté les rues de Rouen au début de notre week-end de l’Ascension, nous avons décidé de profiter du beau temps et de passer la soirée à Dieppe. Ce n’était pas vraiment prévu alors, c’était sans maillot de bain, ni tong mais juste avec les lunettes de soleil et le sourire aux lèvres ! Bon, les maillots de bain étaient au fond de la valise, on aurait pu les sortir mais on était déjà en fin d’après-midi alors j’avais présenti qu’il ferait encore chaud mais pas au point de me mettre à poils…
Comme on avait pris la voiture pour notre petite escapade, j’ai enfin repris ma Sardina que j’ai eu pour mon anniversaire il y a déjà 4 ans… Je suis une amoureuse des belles images mais quand j’ai commencé à m’intéresser à la photo, je suis allée naturellement vers le numérique. J’ai donc un peu de mal avec le fait d’être limité dans la quantité pour la prise de vue et dans le principe de la patience pour le développement. Et parce qu’il m’arrive plus souvent de prendre l’avion pour mes déplacements-loisirs, j’ai tendance à ne pas prendre cet appareil à pellicules en pensant que le passage de la douane avec les rayons X abimerait mes films. Du coup, j’avais commencé une pellicule il y a 4 ans que j’ai enfin terminé ce week-end ! Par contre, avec les grosses chaleurs qu’il y a eu, je ne suis pas certaine que mon film ait vraiment résisté… Résultat dans quelques jours !
Sinon, j’ai aussi trimbalé mon Instax que j’apprends à apprivoiser tout doucement. Depuis que je l’ai acheté, je le sors surtout pour les soirées d’anniversaire. J’aime bien prendre des instantanés, c’est assez fun ! Pour les voyages, c’est beaucoup moins le cas mais j’aime beaucoup le format. Pendant le week-end, on a pris une vingtaine d’instantanés qu’on a rangé dans un petit album acheté chez Hema. D’ailleurs, pour celles et ceux qui ont un Instax, les 20 films Instax sont à 15e toute l’année.
Pour revenir à la partie touristique, voici quelques clichés (numériques). Avec mon Amoureux, on avait déjà visité Dieppe il y a 2 ans. Comme nous sommes arrivés tard, on ne s’est pas attardés dans les rues de la ville et on a pris la direction de plage sans attendre.
En s’approchant du bord de mer, on a vite senti le vent marin nous rafraîchir : frais et parfumé à l’iode.
Avec notre plaid molletonné, on a profité du soleil pendant quelques heures avant d’arpenter le port pour trouver une table pour le diner.
Et puis un dernier détour pour voir le soleil se coucher…
